Vous trouverez ci-dessous une annonce du Conseil pour les Affaires Economiques de la paroisse ND du Mur.

Elle a été distribuée aux paroissiens fin de semaine dernière.

Seuls les dons permettent aujourd'hui à l'Eglise, et lui permettront demain, de continuer à remplir sa mission.

La Bonne Nouvelle de Jésus-Christ nous fait vivre.

Elle est Espérance et recours pour notre monde d’aujourd’hui, après avoir été Espérance et recours pour des centaines de millions d’hommes qui nous ont précédés.

Cette Bonne Nouvelle pourrait-elle cesser d’être annoncée ? Pourrait-elle être submergée par un flot d’autres sollicitations, faute de pouvoir exister financièrement, faute du soutien de ceux et celles qu’elle fait vivre ?

La paroisse Notre Dame du Mur regroupe les communautés de Morlaix (St Matthieu, St Melaine, St Martin, Coatserho, Ploujean), de Plourin et Ste Sève. Les deux couvents privés des Augustines et des Carmélites sont aussi deux autres lieux d’assemblées régulières des paroissiens.

Pour assurer sa mission pastorale, la paroisse dispose de différents lieux :

• du presbytère St Matthieu où loge le P. Yves L’Aot,
• du presbytère de Ploujean (en vente),
• de l’espace St Melaine, qui comprend l’accueil paroissial, la bibliothèque, les salles d’archives, le secrétariat, les bureaux de Sylvie, Christiane, le logement des prêtres (Yves Laurent, Daniel de Kerdanet, Tanneguy de St Martin) et du séminariste Joseph Coste, ainsi que leurs bureaux.
• du Centre Jean-Paul II.
• de petits locaux pour des réunions (Plourin, Ste Sève), les autres utilisant leur sacristie ou le presbytère.

Mais outre ces moyens immobiliers, la paroisse a également besoin de moyens financiers.

Depuis plusieurs années la paroisse n’arrive pas à équilibrer les comptes.

Par le passé, des ventes immobilières ont permis d’assurer quelques réserves, mais nous arrivons au bout des opérations de cession d’actifs possibles. La perte nette est inquiétante.

Le Conseil pour les Affaires Economiques travaille à réduire les dépenses, à rationaliser les fonctionnements, à trouver des sources d’économie.

Il cherche aussi comment mieux répartir les charges liées au personnel (laïcs et prêtres) et au centre Jean-Paul, maison du doyenné, entre les quatre ensembles paroissiaux qui constituent le doyenné.

Tout comme l’Eglise en France, notre paroisse vit modestement, mais elle utilise au mieux l’argent qui lui est confié pour l’annonce de l’Evangile

Cependant les dépenses sont globalement maîtrisées, et de moins en moins compressibles.

La seule solution est d’augmenter les ressources. L’Eglise ne bénéficie d’aucune subvention publique et ne peut donc compter que sur les chrétiens et les sympathisants pour assurer son fonctionnement.

Tout d’abord, un grand merci pour votre générosité !

Se pose ensuite la question : comment peut-on, ensemble, améliorer les rentrées ? Comment chacun peut y contribuer ?

Notre paroisse a investi pour la création du centre Jean-Paul II. L’entretien des presbytères coûtent. Les bons chantiers, donnant droit à des réductions fiscales, collectent des fonds dédiés à l’immobilier et permettent d’envisager des travaux pour le maintien en état de nos bâtiments. 

Léguer à l'Eglise Catholique, c'est s'inscrire dans cette tradition où les générations de croyants qui nous ont précédés, ont donné à notre Eglise les moyens de sa mission dont nous profitons aujourd'hui.